Joseph Dirand aiguisé son regard depuis l’enfance, il sait voir, une qualité rare en effet. Il voit l’espace et la perspective d’un lieu. Son sens de la composition vient de son milieu familial créatif, il a un œil de scénographe et encadre le volume avec une extrême précision. Il est sensible à la façon dont la lumière joue sur le relief et les surfaces planes, il analyse la structure, remarque les moindres détails, observe l’abondance de traits d’un matériau et apprécie la justesse d’une couleur.
Dirand est sensible et visionnaire, il a pris la vie par les cornes dès sa sortie de l’école d’architecture de Paris-Belleville. Sa première commande, une maison en Inde, est devenue son projet d’études supérieures. Il ouvre tout de suite son propre cabinet, motivé par l’ambition de s’exprimer et le besoin de se lancer, «la création était un besoin». Il évoque ses maîtres: Le Corbusier pour son engagement, John Pawson pour son minimalisme, Peter Zumthor pour son intemporalité et sa modestie, Carlo Scarpa pour sa précision, Eero Saarinen pour sa vision globale. «J’adore l’architecture minimaliste, le vocabulaire précis et clair et le détail». Il planifie ses projets à la fois comme des efforts environnementaux et architecturaux.
L’engagement précis de Dirand a porté ses fruits. Il travaille en permanence, sur des projets de différentes tailles. L’architecture et les intérieurs ont confirmé son style caractéristique. La qualité de son design et sa gestion magistrale de l’espace lui ont permis de se démarquer en France et à l’étranger. Sa «French touch» est très appréciée dans les lieux où un «art de vivre» est de la plus haute importance. Un certain nombre d’hôtels et de restaurants, de maisons de couture de luxe et de résidences privées ont été marqués du sceau de son élégance incomparable.
Au sein du cabinet, il dessine lui-même les plans, travaillant sans cesse sur chaque projet dans les moindres détails en collaboration avec ses collègues.
Chaque travail, quelle que soit sa taille, prend forme après une longue période de gestation, renforcée par des recherches sur la texture, la composition, la couleur, l’ambiance, le contexte et l’histoire. Il objective ce réflexe impressionniste par des choix audacieux et des orientations fortes.
Rien n’échappe à son œil. Il conçoit des meubles et des lampes pour ses espaces architecturaux afin de réintroduire la beauté et l’intention de l’objet et ainsi participer à l’histoire de l’ensemble architectural.
Utilisant sa réflexion et son goût de collectionneur comme base, à l’instar des architectes du mouvement moderne, il a décidé de créer sa toute première collection de meubles en édition limitée sous le titre «moderniste»: «Je suis prêt à répondre pour les meubles si il parvient à raconter une histoire, mon histoire.
Joseph Dirand aiguisé son regard depuis l’enfance, il sait voir, une qualité rare en effet. Il voit l’espace et la perspective d’un lieu. Son sens de la composition vient de son milieu familial créatif, il a un œil de scénographe et encadre le volume avec une extrême précision. Il est sensible à la façon dont la lumière joue sur le relief et les surfaces planes, il analyse la structure, remarque les moindres détails, observe l’abondance de traits d’un matériau et apprécie la justesse d’une couleur.
Dirand est sensible et visionnaire, il a pris la vie par les cornes dès sa sortie de l’école d’architecture de Paris-Belleville. Sa première commande, une maison en Inde, est devenue son projet d’études supérieures. Il ouvre tout de suite son propre cabinet, motivé par l’ambition de s’exprimer et le besoin de se lancer, «la création était un besoin». Il évoque ses maîtres: Le Corbusier pour son engagement, John Pawson pour son minimalisme, Peter Zumthor pour son intemporalité et sa modestie, Carlo Scarpa pour sa précision, Eero Saarinen pour sa vision globale. «J’adore l’architecture minimaliste, le vocabulaire précis et clair et le détail». Il planifie ses projets à la fois comme des efforts environnementaux et architecturaux.
L’engagement précis de Dirand a porté ses fruits. Il travaille en permanence, sur des projets de différentes tailles. L’architecture et les intérieurs ont confirmé son style caractéristique. La qualité de son design et sa gestion magistrale de l’espace lui ont permis de se démarquer en France et à l’étranger. Sa «French touch» est très appréciée dans les lieux où un «art de vivre» est de la plus haute importance. Un certain nombre d’hôtels et de restaurants, de maisons de couture de luxe et de résidences privées ont été marqués du sceau de son élégance incomparable.
Au sein du cabinet, il dessine lui-même les plans, travaillant sans cesse sur chaque projet dans les moindres détails en collaboration avec ses collègues.
Chaque travail, quelle que soit sa taille, prend forme après une longue période de gestation, renforcée par des recherches sur la texture, la composition, la couleur, l’ambiance, le contexte et l’histoire. Il objective ce réflexe impressionniste par des choix audacieux et des orientations fortes.
Rien n’échappe à son œil. Il conçoit des meubles et des lampes pour ses espaces architecturaux afin de réintroduire la beauté et l’intention de l’objet et ainsi participer à l’histoire de l’ensemble architectural.
Utilisant sa réflexion et son goût de collectionneur comme base, à l’instar des architectes du mouvement moderne, il a décidé de créer sa toute première collection de meubles en édition limitée sous le titre «moderniste»: «Je suis prêt à répondre pour les meubles si il parvient à raconter une histoire, mon histoire.